Ma semaine devant l’écran #22 | Off the grid

Bonjour à tous,

J’ai passé la semaine dans les Landes, à ne pas faire grand chose du tout sauf faire tout mon possible pour ne pas penser au boulot qui m’attend à la maison. Je ne pensais pas avoir le temps de regarder quoi que ce soit, mais j’ai finalement pas mal avancé dans mes rattrapages au rythme de deux-trois épisodes en soirée (oui, tout le reste a été vu le weekend, lorsque je suis rentrée sur Bruxelles) ; je suis moins picole que mes compagnons de voyage, alors je migrais plus tôt qu’eux vers mes quartiers. Deux-trois épisodes, c’est moins que ce à quoi je suis habituée ; j’ai compensé en jouant à des jeux de société et en lisant, et ça c’était très chouette.

Ainsi, j’ai avancé dans la série de Rick Riordan The Trials of Apollo, donc j’ai lu les deux premiers tomes (The Hidden Oracle et The Dark Prophecy). C’est moins le coup de foudre que pour la saga The Heros of Olympus, probablement parce qu’on est de nouveau dans une narration à la première personne. En effet, l’histoire est racontée par Apollon, déchu par Zeus à mener une existence mortelle, et qui se retrouve à devoir protéger les Oracles de nouveaux ennemis cherchant la domination mondiale. Comme toujours, c’est délicieux à lire ; mais j’appréciais vraiment les changements de points de vue de la pentalogie précédente, et ça m’a un peu manqué. J’ai également trouvé que ce n’était pas hyper facile à suivre avec des souvenirs lointains des cycles précédents – ce qui est dommage. Mais ça reste un petit plaisir et je me lirai le tome 3 bientôt. Il faut également dire que ça s’insérait très bien entre les parties du jeu Dice Forge, où on est amené à essayer de se distinguer pour plaire aux dieux. Je n’y avais jamais joué et c’est hyper chouette, une bonne balance entre stratégie et hasard.

Moins thématique, j’ai aussi beaucoup joué à Codenames et j’ai fait deviné « bière », « hôpital » et « maladie » avec « cirrhose », quelque chose dont je suis hyper fière (je suis pas très bonne à ce jeu, même si j’aime beaucoup). Enfin, j’ai lu un de livres sur les séries qui traînait dans ma PAL depuis des siècles, Inside the Room: Writing TV with the Pros at UCLA Extension Writers’ Program édité par Linda Varis, qui est exactement ce que le titre annonce : un cours d’écriture de série. J’aime bien voir les dessous du procédé, donc je me suis bien amusée, mais ça reste très scolaire (normal vu que ce sont des cours). A part ça, j’ai socialisé autant que possible, j’ai cuisiné des chouquettes et des burgers végétariens tout-maison, j’ai pris un peu le soleil (mais pas de couleurs), je me suis fait bouffée par les moustiques, j’ai regardé les matches des Diables, et j’ai mangé beaucoup beaucoup de fromage. Ah, et j’ai dormi entre 9 et 12 heures par nuit. C’était trop bien.

I knew you would get it, guys ! NBC via The Portland Mercury

Revenons à nos séries. C’était hiatus cette semaine – parfait puisque je n’avais pas de débit – donc je n’ai dans mon programme hebdomadaire que Pose (où je me suis mise à jour) et The Handmaid’s Tale. J’ai donc surtout avancé dans mes rattrapages, grâce à Good Girls, Barry, The Bold Type et quelques épisodes de Timeless.

Discutons de tout ça pour oublier que je n’ai toujours pas fait mon récap de The 100 alors que j’ai eu une semaine de bonus. Ni American Crime Story alors que ça fait des mois.

Oublié ?

Allons-y !

Rattrapages : mine de rien

Good Girls, saison 1, épisodes 4 à 10

Après des premiers épisodes vus il y a quelques mois, je me suis enfin décidée à reprendre et terminer la première saison de Good Girls ! J’avais beaucoup aimé le pilote, et je suis heureuse d’avoir enfin eu le temps pour reprendre. Les aventures criminelles de Beth, Annie et Ruby sont improbables et palpitantes et je ne me suis pas ennuyée un seul instant devant la saison.

Après le braquage de supermarché du pilote, le trio se retrouve ainsi à devoir gérer problème sur problème : enquête policière, témoins louches et surtout, gang en colère. La bonne nouvelle, c’est qu’elles ont la tête bien sur leurs épaules, et qu’elles sont dégourdies. La moins bonne nouvelle, c’est qu’elle ne sont pas hyper douées non plus, et que de chaque problème résolu en naît un autre, puis un autre, puis un autre ; etc. Bien sûr, c’est leur amateurisme qui est réjouissant, pour nous, mais aussi pour elles : elles ont beau avoir compliqué leur quotidien, toutes les trois tirent quelque chose de cette vie de crime, que ce soit une excitation jusqu’à présent inconnue, une liberté de dire merde au manque de respect au boulot – et bien sûr, de l’argent.

Le crime, ce n’est pas pour tout le monde ; sauf si t’as du culot. NBC via IndieWire

Good Girls est également réjouissante dans ses aspects plus classiques de drames familiaux, qui eux-mêmes sont rarement séparés de l’intrigue principale. Quand est-ce que Stan, le mari de Ruby tout juste devenu policier, va-t-il se rendre compte de la vie parallèle de sa femme ? Comment Beth va-t-elle se débarrasser de son minable mari Dean ? Tous les efforts d’Annie seront-ils suffisants pour qu’elle conserve la garde de sa fille Sadie ? Des tensions, de d’humour, et du drame : Good Girls joue sur tous les panneaux, mais le fait très bien.

Enfin, j’avoue qu’une des raisons pour laquelle j’ai aimé Good Girls est le fait qu’elle joue sur les nuances. Mis à part le personnage de Boomer, le boss d’Annie monstrueux, la plupart des adversaires des héroïnes ont quelque chose d’attachant, un choix forcément assumé par un casting de tonnerre Comment s’agacer sur la durée de l’ex-mari d’Annie, Gregg-avec-deux-g alors qu’il est joué par Zach Gilford ou encore de Mary Pat, la veuve maître-chanteuse débordée, alors qu’elle est jouée par Allison Tolman ? Impossible. Alors oui, j’ai levé les yeux au ciel et critiqué leur choix, mais au final, je me retrouve à bien aimer toute cette bande de bras-cassés ; comme j’aime Beth, Ruby et Annie, qui sont ma foi très sympathiques… et jusqu’à leur coup dans des activités criminelles. Personne n’est parfait.

Barry, saison 1, épisodes 2 à 8

Barry avait déjà été un coup de coeur lors du pilote, mais c’était rien comparé à la série. En huit épisodes, je suis passée du rire au rire, et une ou deux fois à la larme à l’oeil. Plus violent que Good Girls, mais aussi plus ouvertement comique, la comédie de HBO est une perle d’absurdité et d’humour noir, avec une petite pincée de désespoir.

Oh bordel, mais qu’est-ce que je l’aime Bill Hader ❤ Et sa voix ! sa voix est magique. HBO via Giphy

En effet, le protagoniste Barry – rappelons-le : un tueur à gage déprimé décidé à devenir comédien – a du mal à laisser sa vie de crime derrière. Il ne veut plus tuer… et pourtant, s’il veut pouvoir faire table rase du passé, il se retrouve à devoir continuer. Bien sûr, rien ne l’oblige à faire quoi que ce soit, mais puisqu’il veut rester à Los Angeles et aussi hors de prison, des petits meurtres par-ci par là restent au final la solution la plus simple à tous ses problèmes – enfin, c’est ce qui se persuade. C’est assez curieux. Barry n’est pas un sociopathe. Il a une conscience. A bien des égards, il semble être un « bon gars », plus peut-être que d’autres anti-héros, et certainement plus que les personne avec qui il travaille, qu’on parle de mafieux tchèques cruels mais un peu cons, de militaires instables et impulsifs ou encore de son patron ami-ennemi, Fuches. Alors on le regarde faire des mauvais choix, et on espère qu’il pourra sans sortir sans trop de dommages collatéraux. On espère.

J’ai été captivée, si bien qu’alors que j’étais partie pour regarder ça doucement, j’ai tout vu en deux soirées mais surtout, sans geeker à coté. La fin de la saison est particulièrement prenante : même mon copain, qui m’a rejoint un peu soul et prêt à s’endormir, a regardé les trois derniers épisodes avec moi – et avec passion. Le lendemain au petit déj, il en faisait la pub à tous nos compagnons de vacances. Je vous recommande chaleureusement Barry – sauf si vous avez une aversion de la violence, il y en a tout de même pas mal.

The Bold Type, saison 2, épisode 1 à 5

J’ai enchaîné la début de la saison 2 de The Bold Type ce dimanche, et je la trouve toujours autant délicieuse que la saison 1. C’est simple (sauf quand c’est compliqué parce que fois la vie est un peu compliquée), c’est positif, et c’est réjouissant. Jane doit s’ajuster à son nouveau travail, Sutton à son nouveau célibat et Kat à sa nouvelle vie de couple. Elles galèrent, elles se soutiennent. Elles font des erreurs, elles apprennent de leurs erreurs, elles tentent de les réparer. Elles se confrontent, elles discutent, elles s’entendent. Elles vivent et c’est drôlement chouette à regarder.

Freeform via Vulture

The Bold Type a été rajoutée à mon planning hebdomadaire, donc on en parle la semaine prochaine plus en détails 😉

Timeless, saison 1, épisodes 6 à 9

Rien à faire : j’ai dépassé la moitié de la première saison de Timeless et je reste assez indifférente… Mais qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? La série me vend du rêve mais je n’arrive toujours pas à me mettre dedans. Amateurs de la série, si vous pouvez me dire ce qui vous a charmé, je suis curieuse ; surtout que je ne compte pas abandonner.

Les derniers épisodes vus ont touché à quelques éléments de l’histoire qui me sont familiers (même si ce n’est pas limpide non plus), donc je pense que ma théorie de « souffrir de mon manque de connaissance de l’histoire des Amériques » n’est peut-être pas tout à fait avérée… mais pas non plus faux. On a parlé Watergate, Apollo 11 et Bonnie & Clyde dans des épisodes qui m’ont plus captivée que celui sur la Guerre de la Conquête. A part ça, je kiffe bien l‘alchimie entre Lucy et Wyatt. Un tantinet superficielle, moi ?

NBC via Time Travel Nexus

Bilan : Sans « inédits » cette semaine, j’ai doucement regardé des épisodes par-ci par-là… puis j’ai craqué dès mon retour à Bruxelles, avec un dimanche consacré à des visionnages nombreux. Au total, j’aurais vu 23 épisodes/531 à voir (le nombre a augmenté à cause de The Bold Type qui est en cours ; mais maintenant que je suis à jour on est bon) qui s’ajoutent aux 84 déjà vus : j’en suis à 20,15 % de mon objectif. No comment.

Varia : blast from the past (ou le futur, en fait ?)

Star Trek: Deep Space Nine S06E12 : « Rocks and Shoals »

Parfois je marque sur BêtaSéries des épisodes que je pense avoir vu alors que non ; heureusement que Netflix est là pour me rappeler à l’ordre (et se souvenir d’exactement où je suis dans des séries que j’ai arrêté depuis trop longtemps). J’ai commencé Deep Space Nine il y a un bail déjà, et je pensais avoir fait trois saisons max… en réalité, j’en ai vu cinq entières, et j’ai même commencé la sixième ! S’arrêter à ce stade, c’est presque de la négligence.

J’ai repris la série pour le Bingo Séries #16, parce que j’avais besoin d’un épisode sorti il y a plus de cinq ans et que, par malheur, ma liste de rattrapages ne contient que des « nouveautés » ! Je n’ai vu qu’un épisode (aussi, à strictement parler, j’ai vu ça ce matin donc…) et j’ai passé toutes les premières minutes à essayer de me rappeler des enjeux de la série, sans vraiment y parvenir. L’épisode a sa propre histoire, comme d’habitude, mais celle-ci s’insère étroitement dans un arc de six épisode de début de saison ; disons que ce n’est pas la méthode la plus douce pour se remettre dans le bain.

On est donc en plein milieu de la guerre du Dominion, et Sisko et compagnie sont toujours en mission de détruire une réserve de Kétracel Blanc (la drogue des Jem’Hadar) lorsqu’ils se retrouvent coincés sur une petite planète avec des Jem’Hadar… puis il y a toute une histoire de dilemme moral et de trahison et tout et tout. Sur la station, Kira se rend compte qu’elle ne peut plus rester inactive et décide de s’engager dans la résistance. Enfin, je vous dis tout ça, j’avoue que je ne suis pas certaine de ce qui s’est passé dans « Rocks and Shoals » ; ce dont je suis sûre, c’est qu’il faut vraiment que je termine ces six épisodes de début de saison, sinon je ne vais rien comprendre la prochaine fois non plus.

Programme hebdomadaire : hiatus… donc mise à jour !

Pose S01E01-S01E05 : de « Pilot » à « Mother’s Day »

« The category is… » FX via Billboard

De jeudi à dimanche, j’ai regardé les premiers épisodes de Pose (bon, surtout dimanche), dans le but de rajouter une nouvelle série à mon planning hebdomadaire de l’été. Comme toujours, j’ai un coche de retard : il ne reste que trois épisodes, comptant celui qui a été diffusé lundi et qu’il me reste à voir… Les semaines passent beaucoup trop vite, ne trouvez-vous pas ?

Pose faisait partie de ces séries que je voulais découvrir cet été et je ne regrette pas du tout mon choix. La série met en scène une galerie de personnages, principalement transgenres ou gays, qui évoluent dans le New York de 1987, notamment dans le monde de la culture ball. Dans les premiers épisodes, Blanca (MJ Rodriguez), tout juste diagnostiquée comme porteuse du VIH décide de quitter la Maison Abundance, dirigée par l’audacieuse mais tyrannique Elektra (Domique Jackson) afin de fonder sa propre Maison, qu’elle nomme Evangelista. Elle adopte ainsi le jeune Damon (Ryan Jamaal Swain), danseur surdoué mis à la rue par ses parents, qu’elle convainc de s’inscrire à l’Académie de danse. Sa maison s’élargit avec Lil Papi (Angel Bismark Curiel) puis le recrutement d’Angel Indya Moore, autrefois aussi de la maison Abundance. Entre les deux Mères, le passé difficile se mue en une compétition acharnée pour le prix de « Mère de l’année » – et tout les autres qui peuvent être décrochés au passages lors des balls, où les chacun peut défiler dans toute une série de catégories.

Rien ne bat les costumes de la scène d’ouverture mais ces moments de ball restent un vrai plaisir à chaque fois. FX via Giphy

Par ailleurs, Angel rencontre Stan (Evan Peters), un regular white dude qui vient de décrocher un job à la Trump Tower ; entre les deux, une romance bourgeonne. Tout ça c’est déjà beaucoup, mais Pose parle de l’épidémie du SIDA, des inégalités sociales, de la violence au sein et entre les minorités, du monde compétitif des corporations… Les épisodes sont chargés, et il se passe beaucoup trop de choses pour discuter de tout ici !

Ce que j‘aime beaucoup dans Pose, c’est la nuance des personnages. Tous ont un caractère bien distinct. Tous ont des défauts. Tous ont des qualités. A chacun ses rêves, ses ambitions, ses souvenirs douloureux, ses secrets. A chacun son vécu. Tout ça fait des histoires individualisées qui sonnent à chaque fois parfaitement juste. Je trouve ça vraiment très réussi.

The Handmaid’s Tale S02E12 : « Postpartum »

J’ai été si heureuse de la série jusqu’à présent qu’il fallait bien que je trouve un moment pour m’en plaindre ; l’épisode de cette semaine est ma victime, puisqu’il incarne ce qu’il m’a le plus embêté dans cette saison de The Handmaid’s Tale : le manque de structure dans l’histoire. J’ai conscience que les scénaristes ont probablement quelque chose en tête pour le finale qui donnera du sens à toute cette histoire, mais les allers-retours de Jude, tant psychologiques que physiques, sont répétitifs et fatigants – mais n’ont surtout pas beaucoup de sens. Jude est peut-être fertile, mais elle est tout de même bien chiante pour une Servante, et pourtant, elle échappe à toutes les punitions physiques, juste parce que c’est l’héroïne. Je ne pense pas que le problème soit dans plus de violence – on a eu assez de mutilations pour une vie – mais il serait logique que Jude soit exilée, enfermée, ou au moins tenue à l’écart des Waterford. Mais non, elle revient, toujours, à la case départ.

J’aimerais un peu voir les projections de Gilead sur le long terme, parce qu’à exécuter autant, il ne doit pas rester grand monde. Hulu via Indiwire

Ainsi, elle débute l’épisode de retour dans le centre de Tante Lydia, à être traite afin de nourrir bébé Holly, rebaptisée Nichole, « rendue » aux Waterford. Mais elle ne produit plus assez de lait… et le Commandant se laisse convaincre de la reprendre à la maison. Bien sûr, il y a ici sa patte perverse à l’oeuvre, et bien sûr, ça joue dans toutes les insécurités de Serena Joy ; mais je ne peut m’empêcher de trouver la chose forcée. Ce n’est pas possible que qui que ce soit croit en son histoire de kidnapping et si tout à ça est un power trip, ça commence franchement à se fatiguer. Bon, ça c’est pour la colère. Au coeur de l’épisode, on retrouve surtout la jeune Eden, qui décide de choisir l’amour à la place du devoir et en paye le prix comme cela se fait à Gilead sauf lorsqu’on s’appelle Jude. C’est une belle séquence émotion pour un personnage qui ne mérite pas ce sort mais qui n’a pas non plus été assez développée pour que son courage fasse sens – mais bordel, Sydney Sweeney vend la chose à merveille. Bien sûr, l’exécution d’une jeune fille fertile parait stupide, vu que la fertilité est rare, mais vraiment, à quoi bon argumenter qu’il serait plus logique qu’elle soit convertie en Servante et/ou envoyée au Mexique ou chez un autre « partenaire économique »The Handmaid’s Tale ne fait pas dans la subtilité, et le sacrifice d’une enfant pure au nom de l’amour est l’occasion pour Serena Joy de trouver ses larmes. Dans les derniers moments de l’épisode, elle autorise Jude à allaiter « leur fille » ; plus que ce « pardon » cependant, le moment est crucial parce qu’il semble que les femmes pensent à la même chose en regardant l’enfant : et si un jour elle tombait amoureuse ?

« Postpartum » m’a légèrement agacée à cause de la trajectoire de yoyo de Jude, mais je dois admettre que je suis curieuse des développements de fin d’épisode. Au delà de l’intrigue principale, Emily s’est retrouvée assignée dans la maison de Bradley Whitford du Commandant Joseph, qui a l’air gentil… non méchant… non gentil… méchant ? On ne le sait pas encore, mais il est cependant responsable de la mise en place des colonies et sa femme ne s’en remet pas : elle semble souffrir de démence, mais est aussi presque définitivement abusée, non ? La Martha de la maison semble répondre au Commandant avec insolence sans que ce soit un problème, mais elle a un oeil en moins, donc peut-être en fait que c’est un problème ? J’imagine que ce sera éclairci la semaine prochaine, mais en tout cas, je trouve ça plutôt palpitant. Cependant, il semble il y a avoir tant de choses à clôturer dans le finale il est fort possible qu’on soit laissés avec plus de questions que de réponses en attendant la saison 3.


Et… c’est tout ! J’ai sauté les émotions faute de temps et de discipline (et non pas d’émotions). Je travaille plein temps cette semaine, en plus de mon mémoire, donc je n’ai pas trop l’occasion d’écrire mais je vais tâcher de finir de rédiger mon récap de l’épisode de The 100 ce soir. Ou demain. En tout cas avant de voir le suivant.

Et vous, qu’avez-vous vu de bien ?

A bientôt,

Enid

9 commentaires sur “Ma semaine devant l’écran #22 | Off the grid

  1. Tant mieux si tu as put récupérer! J’adore les jeux de société et Dice Forge a l’air vraiment trop bien, on a hésité à se l’acheter. J’ai oué ce weekend à Mystère à L’Abbaye. C’était vraiment trop bien c’est une genre de Cluedo mais en beaucoup plus stratégique, c’est vraiment cool!

    J’ai aussi finit Good Girls et c’était vraiment trop trop bien!!! Je ne sais pas trop quoi penser des dernières minutes, comment il s’est retrouvé là lui? Et pourquoi avoir voulu le vendre ça pouvait pas couler comme ça, enfin bref c’était quand même trop bien! (MDR pour le mec de la sécurité du magasin!)

    Je compte commencer The Bold Typer et Pose bientôt ça a l’air vraiment trop bien!
    Pour Timeless j’ai longtemps hésité mais finalement je ne vais pas me lancer je ne vois aucun retour exceptionnel. Même si j’adorais l’acteur principal dans 90210.

    Et enfin The Handmaid’s Tale! J’ai tellement hâte de voir le dernier mais j’appréhende, apparemment il est très brutal (d’après l’actrice qui joue Moira). Pour Eden je la trouvait très très pieuse et droite, ça m’a fait du bien de la voir se dérider comme ça mais finalement c’est arrivé trop rapidement par rapport aux épisodes précédents. Et effectivement elle aurait put être envoyée dans les colonies ou être « utilisée » comme servante,… Et puis j’ai le même sentiment que toi pour la partie avec Emily: confusion totale!
    J’ai aussi trouvé cet épisode un peu en dessous mais on a du trop être habitués à l’horreur.

    Bonne fin de semaine de boulot!

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    1. Je connais pas Mystère de l’Abbaye, je vais me renseigner 😀 Dice Forge est vraiment très chouette, et je pense qu’il peut beaucoup se rejouer (on peut changer certaines cartes). On a le sentiment de toujours jouer (parce qu’on joue aussi pendant le tour des autres) et on ne sait pas trop dire qui va gagner avant la toute fin, deux très bons points (que je n’ai pas mentionnés plus tôt).

      Moi aussi je l’aimais bien Matt Lanter 😉 C’est même un peu de sa faute si j’ai regarder 90210 si longtemps !

      J’ai l’impression que le sentiment de hâte-anxiété est un peu celui que j’ai avant chaque épisode de The Handmaid’s Tale. Mais là c’est pire parce que c’est le finale ! On verra très bientôt, j’imagine 🙂

      Bonne fin de semaine à toi !

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      1. Ah j’avoue le suspense jusqu’à la fin c’est pas mal ça quand on joue. Parce que si on sent dès le début qu’on ne gagnera pas ça peut en démotiver plus d’un.

        Pour Handmaid’s Tale j’adore vraiment cette série, elle est tellement indispensable, ça fait tellement peur de se dire que ça pourrait nous arriver, en général je dors super mal après un épisode (même si parfois je me regarde un épisode drôle de 20mn pour me remonter le moral).

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  2. Et du coup, t’as eu beau temps dans les Landes ? Non, je demande, mais c’est parce qu’il paraît que je vais possiblement y vivre l’an prochain, alors bon, je m’inquiète pour ma survie mdr

    Troy and Abed ❤ Il faut que je revois Community, je ne me souviens plus de quel épisode vient le gif (saison 4 ?).

    J'ai parcouru vite fait ton avis sur Good Girls, elle reste dans ma liste de choses à voir comme ça. Je ne connais toujours pas plus que ça Barry, mais pourquoi pas si j'ai l'occasion et il me faut continuer la saison 1 de The Bold Type, c'est terrifiant de voir qu'on en est déjà à 5 épisodes de la 2 ehe

    20%… bravo !
    Sinon, ce ne sont pas les épisodes qui passent trop vite, c'est le temps !

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    1. Il faisait très chaud quand j’y étais, ce que je déteste mais si c’est ton truc, c’est top 🙂 Par contre, les moustiques c’était l’horreur ! Mais bon, j’étais loin de la côte, je sais pas du tout si c’est représentatif du climat. J’espère que tu vas être dans un coin sympa !

      Huuum, je dirais saison 3 pour le gif, avant qu’Annie emménage mais je ne suis plus trop sûre. C’est toujours aussi drôle à revoir ❤

      C'est pas juste que le temps passe si vite d'abord :/ C'est chouette de savourer, aussi, j'espère que The Bold Type te plaira sur la durée !

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      1. Le mystère est entier, si ça se trouve, je ne serai pas dans les Landes du tout. La chaleur j’aime en vacances, mais c’est vrai que pour y bosser, ça va être handicapant. On verra bien !

        Pour le moment The Bold Type me plaît… mais faut vraiment que je continue la saison 1, quoi !

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