Ma semaine devant l’écran #48 | The truth is

Bien le bonjour,

Cette semaine marque le tournant de la nouvelle année, et donc les bonnes résolutions. J’ai parmi celles-ci la régularité dans mes rendez-vous du blog et puisque ce débrief arrive avec une semaine de retard, disons que ce n’est pas gagné. C’était la seconde semaine de vacances et je n’ai pas fait grand chose à part bosser devant des séries, ce qui explique le manque de diversité dans les séries : j’ai vu plus de deux saisons de The X-Files, la dernière saison de A Series of Unfortunate Events et, pour la forme, l’épisode de janvier de Into the Dark. Au final, tout ça fait pour beaucoup d’heures.

Bon, ne tardons pas plus et débriefons, c’est pour ça qu’on est là, non ?

Kit gets it. Netflix/ ASOUE « Penultimate Peril: Part 1 ». Source : Giphy

Rattrapages et streaming

The X Files saison 4, épisode 24
The X-Files saison 5

On connait la chanson à ce stade-ci : The X-Files me passionne sauf quand ça m’ennuie, et tout ça c’est parce que je continue de faire trop de choses à la fois. La saison 5 a moins d’épisodes de l’arc extraterrestre, donc youpie, par contre ceux qui en font partie m’ont particulièrement désintéressée (je remercie au passage toutes les personnes qui ont contribué à rédiger les pages Wikipédia des épisodes de la série, que j’ai consultées quasi-systématiquement).

Le début de la saison m’a parue solide, avec notamment « The Post-Modern Prometheus » qui est curieux et charmant à la fois, et ce en dépit d’une histoire de viols pas vraiment présentés comme tels ; « Chinga », qui ne fonctionne pas à merveille mais qui est très gore (et aussi : poupée/ petite fille démoniaque, héhé) ; et « Bad Blood« , parce qu’il y a des vampires (ou y’a-t-il ?), Mulder et Scully qui se disputent sur les détails d’une histoire, et Duchovny et Anderson qui s’éclatent à jouer des scènes deux fois. J’ai également beaucoup aimé « Folie à Deux », qui m’a surprise par ses développements (et oui, le « You’re my one in five billions » est choupinet, en même temps d’être un rappel de l’inquiétante croissance démographique humaine).

Et ce monstre, il n’est pas mal non plus. Fox/ The X-Files « Folie à Deux ». Source :  WhatCulture

Au milieu de tout ça, on a beaucoup de conspiration, quelques épisodes mystiques, des nouvelles des ovules de Scully, et tout ça, je m’en tape un peu même si c’est probablement très important pour le futur.

The X-Files: Fight the Future

Autant je ne me referai probablement pas l’intégralité de la série parce que, hum, vu le pari que c’est à chaque épisode, je ne suis pas sûre que j’aurai le courage (mais par contre, moyen qu’un jour je revienne sur quelques uns que je n’ai pas suivi, vu que j’ai été distraite), autant je me dis qu’il faudrait peut-être que je revois le film The X-Files, aka The X-Files: Fight the Future. J’ai compris assez pour savoir qu’il était question d’une bombe, d’abeilles, d’installations gouvernementales top secrètes (what else is new ?) et aussi que Mulder et Scully sont à deux doigts de se faire un gros bisou (mais surtout avant ça on a une petite discussion trogronne sur leur partenariat), soit pas grand chose, mais ai-je besoin de plus ? Nah.

Oui, oui, je sais, regarder d’un oeil c’est pas vraiment regarder mais j’ai un projet de thèse à tenter d’écrire, ça prends de l’attention.

The X Files saison 6

Ca y est, je me rapproche de la moitié et je suis enfin investie dans The X-Files ! Que les mauvaises langues restent dans les poches, ce n’est pas parce que Mulder et Scully commencent à se faire les yeux doux gros gros gros, je ne suis pas si fleur bleue que ça. Non, je pense qu’on peut plutôt y voir une meilleure attention de ma part (hé, je suis sûre une deadline serrée donc bien sûr que je procrastine comme une malade #AutoSabotage), et peut-être possiblement une clarification de l’intrigue para-normale. Y’a toujours des épisodes hommes verts et ce sont toujours ceux qui m’agacent, mais au moins, même d’un demi-oeil, j’arrive à suivre parce que tout prend enfin forme. De plus, je trouve que les épisodes isolés sont très solides, même si peut-être un peu plus clownesques que ce à quoi la série nous a habitué : réalité parallèle dans le triangle des Bermudes (« Triangle »), épisode changement de corps (« Dreamland »), maison hantée facétieuse (« How the Ghosts Stole Christmas »), contrôle du temps par un amoureux transi (« The Rain King »), infiltration dans une banlieue remplie de voisins trop pointilleux (« Arcadia »), un auteur qui donne vie à ses créations (« Milagro »), des extra-terrestres fan de baseball (« The Unnatural »), les Lone Gunmen en mission top-secrète et aussi Scully sous drogue (« Three of a Kind »). C’est parfait pour moi, en tout cas.

Mahahaha, j’aime quand The X-Files est léger  ❤ Fox/ The X-Files "Arcadia"

Enfin, je tire mon chapeau à « Monday » : certes, les épisodes Groundhog Day, c’est fait et refait, mais ici c’est plutôt original puisque la variable de la boucle est un personnage de l’épisode (et non pas un des héros). Très réussi. Par contre, un petit mauvais point pour « Dreamland » : lorsqu’on tente le coup du « miroir qui reflète un acteur différent », la moindre des choses est de bien coordonner la séquence ! Ça lague un peu et c’est gênant puisque du coup, ce sont juste deux hommes en slip qui gesticulent et grimacent l’un en face de l’autre. Certes l’un de ces hommes est Duchovny. Mais tout de même.

The X-Files, saison 7, épisodes 1 à 6

Déjà, j’en suis à la saison 7, aka « la dernière saison classique de The X-Files » et vous savez quoi, ça me va très bien parce que je commence à en avoir légèrement marre. Certes, je me suis très amusée la saison précédente, mais c’est retour à la normale maintenant et… bah la normale c’est toujours autant couci-couça.

Deux choses à noter cependant : l’épisode 3, « Hungry », est innovant et je me suis beaucoup amusée, et ce n’est pas juste parce qu’on y voit Mark Pellegrino en employé de fast-food rebelle (bien que…) ; et forcément, l’épisode 4, « Millennium » qui est moyennement passionnant, mais y’a la fin qui le sort de la masse.

A Series of Unfortunate Events, saison 3

Ça y est, A Series of Unfortunante Events c’est fini et cela aura été une pente grimpante pour moi – par cela, je veux pas dire que ça a été de plus en plus dur à regarder mais de mieux en mieux, je réalise que je ne suis parfois pas très claire. Ce n’est pas très surprenant, puisque c’était également comme ça dans les bouquins ; pourtant, à l’époque, le coté répétitif m’avait bien plus, et son émancipation progressive m’avait inquiétée. Les orphelins baladés d’une maison à l’autre, puis en cavale, puis criminels : comment cela pouvait-il bien se finir ? Lemony Snicket : ça ne pouvait pas. La fin du treizième livre était ambiguë et, sans être complètement déprimante, elle n’avait rien de réjouissante. La série prend une route légèrement différente, et ce n’est pas plus mal. Revenons sur ce qui s’y passe.

Dans « Slippery Slope », nous faisons la connaissance du dernier frère Quagmire (Beauxdraps), Quigley, qui plait bien à Violet, de Kit Snicket, la soeur de Lemony, très enceinte, et de l’Homme Avec Une Barbe Mais Sans Cheveux et la Femme Avec Des Cheveux Mais Sans Barbe, les patrons du Comte Olaf ; plus que ça, Sunny (Prunille) se lit d’amitié avec l’Homme aux Crochets, qui nous révèle un visage plus sympathique. Les orphelins finissent par être réunis, et le Comte perd presque toute sa troupe mais voit Carmelita l’agrandir. Dans « Grim Grotto », nous suivons les aventures sous marines des orphelins. Ils espèrent rejoindre le point de rendez-vous de VFD, mais la capitaine du sous-marin, la jeune Fiona, a pour mission de localiser le sucrier tant convoité. La mer est cependant pleine de danger : un monstre des profondeurs, le Grand Inconnu, rôde… alors qu’un champignon mortel, le Medusoid Mycelium, quitte bientôt la grotte dans laquelle il est détenu. Le tome finit par nous apprendre que Fiona (qui plait beaucoup à Klaus) à et l’Homme aux crochets sont soeur et frère – ils échapperont à Olaf -, que VFD est sur le point de récupérer le sucrier et que le remède au Medusoid Mycelium et le raifort (ou le wasabi).

Je me souviens de ce tome très clairement, et de l’angoisse que c’était de voir Sunny en danger de mort : cela fonctionne très bien dans la série également. Netflix/ ASOUE « Grim Grotto: Part 1 ». Source : Bustle

Les épisodes 5 et 6, « Penultimate Peril », se passent à l’Hôtel Dénouement, où ont été conviés tous les alliés et les ennemis de VFD. Les orphelins y rencontrent Kit, qui les charge de vérifier si l’hôtel est un lieu sûr. Un seul problème, il est tenu par des jumeaux, dont l’un est maléfique et l’autre gentil. Il y a en réalité un troisième frère, l’amoureux de Kit, chargé de tenir les archives de VFD – mais ne nous y attardons pas. Nous finissons par comprendre que c’est Justice Strauss qui a convié tout le monde, afin de faire un procès au Comte Olaf ; sauf que tout ça se retourne contre les Baudelaire lorsque le troisième frère se fait accidentellement tuer et que les juges sont révélés être l’Homme Avec Une Barbe Mais Sans Cheveux et la Femme Avec Des Cheveux Mais Sans Barbe. Les orphelins se retrouvent à devoir fuir l’hôtel en feu sur un bateau en compagnie d’Olaf, alors que leurs tentatives de le faire évacuer tombent dans des oreilles sourdes. La tragédie totale, quoi.

Pfiou, ça en fait des choses qui se passent, non ?

Dans tout ça, j’ai oublié un détail. Sur le bateau, il y a aussi le Medusoid Mycelium, coincé dans un casque de plongée. Les orphelins échouent sur une plage dans « The End » : c’est la plage d’une île qui recueille plein de choses perdues, et qui est tenue par Ishmael. C’est ici que les choses diffèrent beaucoup du livre. Ishmael était le fondateur de VFD, qui s’était isolé sur une île, en compagnie des parents Baudelaire, pour vivre une vie plus simple après le schisme, dans une maisons construite dans un pommier ; les parents sont cependant repartis avant la naissance de Violet. Kit s’échoue sur l’île, après un accident alors qu’elle essayait d’aider les Quagmire, enceinte et épuisée. Olaf tente de se faire passer pour elle, utilisant le casque comme ventre, mais son déguisement est percé à jour – littéralement, ce qui libère le champignon mortel. Ishamel et les habitants de l’île décident de partir, espérant trouver un remède dans une usine de raifort. Les orphelins restent sur l’île, et finissent par comprendre que les fruits du pommier sont le remède contre le Medusoid Mycelium, et se sortent d’affaire. Avec l’aide d’Olaf, amoureux de Kit depuis toujours, ils parviennent à la mettre en sûreté, mais elle refuse de prendre le remède de peur de nuire à son enfant. Elle donne naissance à une fille, Béatrice, et meurt, tout comme Olaf. Les Baudelaire élèvent Béatrice et, après un an à vivre sur l’île et à en apprendre plus sur leurs parents, décident de reprendre la mer pour retourner dans le monde réel.

Le design du refuge des parents Baudelaires et <3<3<3. J'aurais aimé les connaître ces deux-là. Netflix/ "ASOUE "The End". Source : Mashable (au passage, c’est un chouette article sur pourquoi la nouvelle fin n’est pas plus mal)

« The End » n’est plus complètement narré par Lemony Snicket, qui n’a pas idée de ce qui est arrivé aux Baudelaire après leur naufrage. Nous, cependant, nous savons ; et bientôt lui aussi lorsqu’une Béatrice d’une dizaine d’année, lui rend visite : le voilà donc réuni avec sa nièce (qui porte le nom de femme mariée de son amour éternel, how creepy). Puisque Béatrice est en vie, il n’y a aucune raison que ce ne soit pas le cas pour Violet, Klaus, et Sunny, levant le voile d’incertitude du livre, et de la même manière, il est sous entendu que tous les autres personnages encore en vie s’en sortent : les Quagmire finissent par être réunis, Violet et son frère retrouvent leur grand-père, Ishmael et les habitants de l’île finissent par avoir accès au remède et l’ex-troupe d’Olaf devient une vraie troupe de théâtre. Pas si désastreuses que ça, ces aventures, au final.

Les sept derniers épisodes de A Series of Unfortunate Events sont, à mes yeux, les meilleurs. Le coup des déguisement est progressivement mis de cotés, des visages familiers reviennent pour un cameo et les enjeux grimpent. Toutes les questions ont une réponse, même si cette dernière n’est pas forcément à la hauteur de nos espérances – un peu comme voir un film après qu’il ait été trop hypé, quoi – mais c’est plus que ce que faisaient les livres (je n’ai pas lu les compagnons). Ma nature optimiste m’avait toujours fait espérer que les orphelins s’en sortiraient, et je vais donc considérer que la série est canon – et aussi, que les Quagmire et les Baudelaire vont finir par se retrouver, ce serait trop chouette. Comme d’habitude, on a des excellents acteurs pour jouer les rôles des victimes d’Olaf, notamment Max Greenfield qui joue les trois frères Dénouement, et Peter MacNichol dans le rôle d’Ishmael, s’il vous plait. Je ne sais pas ce que j’aurais pu demander de plus. Je n’ai pas décollé de mon écran de la journée du 1er janvier et je n’ai aucun regret.

Diffusions hebdomadaires mensuelles

Into the Dark S01E04 : « New Year, New You »

Je ne sais pas trop quoi penser de la dernière itération de Into the Dark, l’anthologie horrifique. « New Year, New You » a sa part de rebondissements, ce qui fait pour un déroulement moins plan-plan que les deux premiers épisodes de la série, mais c’est également une succession de clichés sur les amitiés entre filles et la superficialité de la quête de la gloire. Bon, pour ce dernier point, il est fort possible que tout ça ait du sens dans le milieu LA, mais ça ne m’a pas empêché de lever les yeux au ciel un bon morceau de l’épisode.

Le pitch de départ est plutôt simple. Quatre copines du lycée décident de passer le nouvel an ensemble dans la maison d’enfance d’Alexis, qui va bientôt être vendue. L’une d’entre elles, Danielle, est désormais célèbre, et la soirée fait ressortir des sentiments et des secrets biens enfouis. A partir de ça, twist après twist, tout ça tourne au cauchemar – mais dire quoi que ce soit de plus serait tout spoiler.

« New Year, New You » est exactement dans ce que Into the Dark cherche à faire, et ne m’empêchera pas de revenir le moins prochain pour un autre épisode d’horreur pas vraiment bon mais pas non plus complètement mauvais. Viser à plus serait pas mal, tout de même.


Voilà pour la semaine ! Trois séries dans un billet, ça doit être le moins que je n’ai jamais fait (mais ce serait à vérifier). La semaine prochaine, c’est retour à la normale – et on se calme sur The X-Files, j’ai besoin de joie dans ma vie.

Qu’avez-vous pensé de ces épisodes/ saisons ?

A tout bientôt,

Enid

7 commentaires sur “Ma semaine devant l’écran #48 | The truth is

  1. The X-Files à leurs meilleurs, c’est clairement en saisons 2 et 3; les suivantes (4 et 5) amorcent clairement un déclin (et c’est normal) mais demeurent de bonne tenue.

    Je me souviens d’être allé voir deux fois Fight the future au cinéma et que la critique et le public avaient injustement eu la dent dure. Le film reste franchement bien foutu et l’intrigue tient fermement la distance.

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    1. Je redonnerai une chance au film, comme je le disais, j’ai vu tout ça en faisant autre chose et ce n’est clairement pas à l’avantage de la série 🙂

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  2. Voilà qui est dense et joyeux ! Une agréable lecture. « Poopyhead », ça m’a tué.

    Tu as vu le film « Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire » avec Jim Carrey ? J’aimerais connaître ta comparaison avec la série si c’était le cas.

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    1. Merci 🙂

      Oui, j’ai vu le film, mais c’était il y a tellement longtemps que je ne me souviens plus trop de l’affaire…

      De ce que je me rappelle, il est structuré très différemment, avec le premier tome sauf la fin, le 2, le 3, puis la fin du premier qui boucle l’histoire. Ca déjà, pour la fan des bouquins que j’étais à l’époque, c’était un dérapage. J’aime comment la série reste fidèle à la structure des bouquins (même si elle prend des libertés). Au début, c’est un peu barbant, mais dès la saison 2, ça devient vraiment très chouette. Mais c’est pas vraiment juste de retenir ça contre le film vu qu’une adaptation juste du premier livre, ou des trois premiers de manière linéaire, aurait été bien trop mou/ répétitif.

      Je n’arrive plus à me souvenir de la façon dont le film raconte l’histoire, mais je pense que Lemony Snicket est peu présent. Ce qui est bien avec la série, c’est qu’il a vraiment le rôle de narrateur, se lançant dans des monologues ou commentant les événements, en plus d’étendre la mythologie de la série. Pas le temps pour ça dans le film, qui est du coup précipité.

      Enfin, j’ai plutôt un bon souvenir de l’Olaf de Jim Carrey. Il était plus « rigolo » que vraiment sombre, mais ça permettait aussi de jouer avec le coté charmeur du personnage. NPH est très bon dans la série, mais je trouve qu’ils ont un peu trop abusé sur les prothèses, ça accentue son coté « maléfique » et le rend peu crédible dans certaines scènes – surtout que c’est le seul acteur à être autant maquillé.

      Le reste est bien trop lointain pour que je m’essaye à une comparaison.

      Tu l’as vu, toi ?

      Aimé par 1 personne

      1. Je l’ai vu plusieurs fois, et sa réussite tant graphique que narrative ne s’effrite pas encore à mes yeux ! Toutefois, je parle en n’ayant pas vu la série ni lu les livres, je suis donc tout l’inverse de toi. Effectivement, le film doit te paraître accéléré vu que c’est, des trois styles, l’œuvre la plus succinte. J’ai personnellement eu l’impression que Snicket était bien présent, mais je ne pourrais pas comparer – en tout cas, on le voit plus que Hoffman !

        Par contre, étant fan de l’humour du film, je ferais bien de me mettre au moins aux livres…

        Merci pour ta réponse !
        Amicalement, Ywan.

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