Le grand retour de Zach Braff à la télévision sera pour une prochaine fois | Alex, Inc (1 saison, 2018)

Je ne pensais pas écrire un billet sur Alex, Inc. qui m’a laissée de marbre chaque semaine depuis son premier épisode mais voilà, la série s’est faite annuler et il me semble qu’elle mérite tout de même le même traitement que les autres que je regarde.

C’est trop bref pour être bon, trop bref pour être mauvais, mais c’était gentil et plein de bonne intentions. Parlons de feu Alex, Inc., de sa première/dernière saison et de pourquoi elle aura peiné à piquer mon intérêt dans ce billet qui fera office de « fin de saison » par défaut. Ceci risque de n’intéresser que très peu de gens, mais me permettra de faire la paix avec ma conscience.

[N.B. Comme dans mes « fins de saisons », je reviens sur l’histoire mais contrairement à mes habitudes, ce débrief est spoiler-free passé le pilote… mais vraiment, qu’est-ce que je peux spoiler dans ce cas-ci ?]

Lire la suite « Le grand retour de Zach Braff à la télévision sera pour une prochaine fois | Alex, Inc (1 saison, 2018) »

Impossible de ne pas sourire | Garfunkel and Oates (2014, saison unique)

Avec une saison à peine, et de huit épisodes seulement, Garfunkel and Oates aurait pu rester en dehors de mon radar si ce n’étaient trois occasions lors desquelles mon attention fut piquée – puis enfin obtenue :

  1. Le passage de ses deux créatrices sur le plateau de Late Night with Seth Meyers et leur performance de « Pregnant Women Are Smug », ce à quoi je m’étais exclamée : « Hé mais c’est le Gooch et le pissenlit boulimique ! » J’étais intriguée, mais sans les moyens de suivre leurs exploits, je les oubliais vite.
  2. La sortie de leur spectacle Garfunkel and Oates: Trying to be Special sur Netflix, piqûre de rappel, que j’ai regardé passionnément ; si bien que je suis arrivée en retard à un repas, honteuse mais heureuse.
  3. Another Period, qui, une fois finie, m’a laissée et manque et ainsi rendue avide de plus de Riki Linhome, plus de numéros musicaux mais aussi plus de Kate Minucci (qui n’apparaît que dans quelques épisodes).

Et voilà. Il m’aura fallu presque quatre ans mais j’ai fini par m’y mettre, comme je vous le disais dans mon debrief hebdomadaire. Je ne regrette rien : cette mini-série (par défaut, vu qu’au moins une saison deux était bien prévue mais n’a finalement pas été produite) est un vrai rayon de soleil.

Lire la suite « Impossible de ne pas sourire | Garfunkel and Oates (2014, saison unique) »